Infos marchés Bruno Dolivet (agriculteur) : « Je gagne en moyenne 20 ou 30 € de plus à la tonne »
Pour Bruno Dolivet, polyculteur-éleveur dans les Ardennes, disposer d’informations professionnelles en temps réel est primordial, qu’elles concernent les marchés pour commercialiser sa production céréalière, ou la météo pour organiser ses différents chantiers. « Je gagne du temps et de l’argent », souligne l’agriculteur.
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Bruno Dolivet du Gaec Dolivet
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« J’ai gagné jusqu’à 40 €/t »
Sur les deux dernières campagnes, le bilan est positif. « En colza, j’ai gagné jusqu’à 40 €/t de plus que si j’avais vendu au prix moyen à la coopérative. En blé, la différence était plus faible mais tout de même supérieure à 10 €/t. »
« Terre-net.fr m’aide à prendre mes décisions. Les notes quotidiennes, le weather market, ou encore l’analyse des rapports de l’Usda (rapport du département américain de l’Agriculture sur l’état de la production aux Etats-Unis, Ndlr) me donnent rapidement une vision de ce qu’il faut faire ou faudrait faire pour vendre au mieux ma production céréalière. Ça me conforte dans mes choix », insiste-t-il.
Pas de place à l’improvisation
Attentif et rigoureux, Bruno Dolivet se connecte quotidiennement, voire plusieurs fois par jour : lorsqu’il prévoit de vendre, il veut suivre, au plus près, les évolutions du marché. C’est pourquoi il apprécie particulièrement le quart d’heure différé.
Avec 290 ha à gérer, pas de place à l’improvisation. Les prévisions, disponibles dans l’observatoire météo de Terre-net.fr, sont très utiles pour planifier les traitements, ou encore choisir des dates de récoltes optimales pour les cultures fourragères. « De mars à juillet, j’y vais tous les jours ! La météo est vraiment très précise sur de courtes périodes. Elle est pédagogique et très complète. Le matin, je fais le point sur l’hygrométrie et la vitesse du vent sur mes parcelles. Ça me permet de bien m’organiser et de ne pas rester bloquer sur une parcelle parce que la vitesse du vent est trop élevée ».
« L’indice de fiabilité me permet d’ajuster mes choix surtout sur le plus long terme. Par exemple, pendant les foins, il faut que je sois sûr qu’il ne va pas pleuvoir pendant cinq jours consécutifs. L’alimentation du troupeau est en jeu », rappelle l’éleveur.
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